Comment atteindre un score Flesch de 70 pour rendre vos textes plus accessibles ?

Dans un monde où la communication digitale règne en maître, la clarté et l’accessibilité des contenus écrits sont devenues prioritaires pour les entreprises telles que L’Oréal, Danone ou Bouygues. Le score de lisibilité Flesch, particulièrement le seuil de 70, s’impose comme un repère essentiel pour rendre les textes compréhensibles par un large public, allant de simples consommateurs à des professionnels du marketing ou de la communication. Atteindre ce score signifie non seulement améliorer l’expérience utilisateur mais aussi renforcer l’efficacité du message, par exemple pour des sites web comme ceux de Carrefour ou Société Générale, où l’accessibilité des informations est fondamentale.

Les enjeux du score Flesch dépassent la simple mesure algorithmique : ils permettent aussi de rapprocher la marque de ses clients en utilisant un langage clair et fluide. En 2025, face à une audience toujours plus diverse et exigeante, maîtriser ce paramètre devient un véritable levier stratégique. Renault et Air France, entreprises à forte visibilité, exploitent ces techniques pour simplifier leur communication et ainsi maximiser l’impact de leurs supports écrits.

Mais comment concrètement atteindre un score Flesch de 70 ? Quelles méthodes privilégier pour rendre la lecture plus aisée tout en conservant la richesse du vocabulaire et la pertinence des contenus ? Quelles erreurs éviter pour ne pas compromettre la lisibilité ? Cette analyse détaillée vous propose un guide complet avec des conseils pratiques et des exemples pertinents, appuyés par les usages dans des secteurs variés comme celui du sport avec Décathlon ou des télécommunications avec Orange.

Comprendre le score Flesch pour optimiser la lisibilité de vos écrits

Le score de lisibilité Flesch, développé dans les années 1940 par Rudolf Flesch, a été conçu pour mesurer la facilité avec laquelle un texte peut être lu et compris. Exprimé sur une échelle de 0 à 100, un résultat proche ou supérieur à 70 indique que le texte est accessible à un lecteur moyen, souvent situé autour du niveau de fin collège (8ème année scolaire). Cette métrique est essentielle pour des entreprises comme Michelin, où la documentation technique doit être claire, ou pour Carrefour qui doit s’assurer que ses messages publicitaires soient compris par tous.

La formule combine deux critères principaux : la longueur moyenne des phrases (nombre de mots par phrase) et la complexité des mots (nombre de syllabes par mot). Plus les phrases sont courtes et les mots simples, plus le score augmente, rendant ainsi le texte plus lisible. Voici ce que traduit un score Flesch en termes de difficulté :

• 90-100 : Très facile à lire, accessible dès 10 ans.
• 80-90 : Facile à lire, clair pour un large public.
• 70-80 : Plutôt facile, bon compromis entre simplicité et richesse.
• 60-70 : Compréhensible mais demande un peu plus d’effort.
• 30-60 : Texte souvent complexe, réservé à un public plus averti.
• 0-30 : Très difficile, souvent scientifique ou technique.

Atteindre un score de 70 nécessite une connaissance approfondie des mécanismes linguistiques et une maîtrise de la structuration des contenus. Les rédacteurs travaillant pour des groupes comme Société Générale ou Orange doivent souvent réviser leurs contenus pour équilibrer la précision avec la simplicité afin de réussir ce pari d’accessibilité.

Application pratique aux contenus corporate et marketing

Une entreprise telle que Renault doit adapter ses communications pour toucher à la fois un public d’ingénieurs et une clientèle plus large, par exemple pour ses brochures ou manuels d’utilisation. Le challenge réside alors dans la simplification des phrases sans nuire à la robustesse technique des informations. Par exemple, préférer « Le moteur consomme peu » à « La consommation énergétique du moteur est réduite » augmente le score de lisibilité.

Les rédacteurs web s’appuient également sur la segmentation des textes, utilisant des sous-titres, des listes comme ici, voire des tableaux pour clarifier rapidement des informations importantes. Ce format favorise un rendu plus accessible et permet d’améliorer le score Flesch sans sacrifier la qualité ou la quantité d’informations.

• Privilégier les phrases courtes, moins de 20 mots par phrase.
• Utiliser des mots simples et éviter le jargon inutile.
• Segmenter le texte avec des paragraphes clairs et structurés.
• Employer des listes à puces pour faciliter la lecture.
• Relire le texte en se plaçant du point de vue d’un lecteur non expert.

Cette méthode a été adoptée par les géants comme L’Oréal pour leurs fiches produits ou Air France dans la communication client, cherchant à éviter toute confusion.

Techniques avancées pour améliorer votre score Flesch au-delà des bases classiques

Aller au-delà des simples phrases courtes et vocabulaire simple est essentiel pour optimiser durablement le score Flesch. Des méthodes approfondies permettent d’identifier les leviers cachés qui freinent la compréhension. Dans de grands groupes comme Bouygues qui communiquent sur des projets complexes, ou Danone qui s’adresse à un public international, ces techniques assurent un équilibre entre clarté et précision.

Analyse et réduction des mots polysyllabiques

Les mots à trois syllabes ou plus (polysyllabiques) peuvent compliquer la lecture, surtout s’ils sont trop nombreux. Une phrase trop lourde en termes de syllabes diminue automatiquement le score Flesch. Par exemple, dans un document technique Michelin, remplacer « optimisation » par « amélioration » peut augmenter la lisibilité. Il ne s’agit pas d’éliminer totalement ces mots mais de les utiliser avec parcimonie.

Quelques astuces pour gérer les mots polysyllabiques :

• Identifier les mots fréquents à trois syllabes ou plus et apprendre à les remplacer.
• Utiliser des synonymes plus courts ou reformuler la phrase.
• Varier les tournures afin d’alléger la structure.

Amélioration de la structure des phrases

Il ne suffit pas de raccourcir la phrase : la manière dont elles sont construites influence aussi la lisibilité. Les phrases trop complexes comportant des subordonnées longues ou des enchaînements difficiles nuisent à la fluidité de lecture.

Les professionnels chargés de la communication chez Carrefour privilégient des constructions simples et directes, évitant le recours excessif au style passif ou aux phrases multiples. Voici quelques points à appliquer :

• Utiliser le style actif plutôt que passif.
• Limiter les incises et subordonnées complexes.
• Marquer clairement la logique à travers la ponctuation.
• Découper les phrases longues en deux ou plusieurs phrases courtes.

Cette approche permet non seulement d’augmenter le score Flesch, mais aussi d’améliorer l’expérience de lecture pour des segments clients divers.

Outils numériques et ressources indispensables pour évaluer et atteindre un score Flesch de 70

Avec l’essor du numérique, plusieurs outils en ligne permettent d’évaluer en temps réel le score Flesch de vos contenus. Leur utilisation est cruciale pour des entreprises multinationales comme Société Générale ou Orange qui génèrent d’importants volumes de textes à diffuser, notamment pour garantir la conformité réglementaire tout en restant accessibles.

Présentation des outils de mesure

Ces outils fonctionnent en analysant automatiquement :

• Le nombre total de mots.
• Le nombre de phrases.
• La densité des syllabes.
• Le taux de mots complexes ou polysyllabiques.

Le célèbre site dCode (https://www.dcode.fr/test-lisibilite) offre un test gratuit permettant d’obtenir le score Flesch et plusieurs autres indices de lisibilité (Flesch-Kincaid, Gunning Fog, SMOG, Automated Readability Index). Ce service est plébiscité par de nombreux professionnels en rédaction et communication.

Comment intégrer ces outils dans votre routine rédactionnelle ?

Voici une liste des bonnes pratiques pour utiliser efficacement ces outils :

• Soumettre chaque texte à une analyse avant publication.
• Comparer les scores avec différentes versions de votre texte pour optimiser la clarté.
• Former vos équipes à l’usage de ces outils en interne.
• Utiliser les indicateurs pour adapter les contenus aux différents segments cibles.
• Automatiser les contrôles lors de la création récurrente de contenus.

Ce processus est utilisé par des grands groupes tels que Michelin ou Décathlon pour maintenir une cohérence rédactionnelle sur leurs plateformes.

Erreurs fréquentes à éviter pour ne pas pénaliser votre score Flesch

Nombreux sont ceux qui pensent simplifier leur écriture en réduisant la complexité apparente, mais certains pièges courants peuvent saborder leurs efforts. Air France, par exemple, a vécu des retours négatifs sur des documents internes trop denses avant de revoir la structure et les formulations.

Voici une liste des ERREURS majeures à surveiller :

• Utiliser un vocabulaire trop spécialisé ou jargon: Restez accessible sans perdre la précision.
• Enchaîner des phrases longues sans respiration: Le lecteur se fatigue rapidement.
• Méconnaître la ponctuation: Un texte mal ponctué brouille le sens.
• Absence de hiérarchisation: Les textes sans titres ni listes perdent en lisibilité.
• Ignorer la diversité des styles: Le langage monotone décourage le lecteur.

Lorsqu’on rédige pour une audience large et variée, comme chez Bouygues ou Carrefour, garder en tête ces écueils permet d’éviter des pertes d’attention ou de compréhension. Enfin, la lecture à voix haute est reconnue comme une méthode simple pour détecter ces défauts et gagner en fluidité.

Exemples concrets et retours d’expériences d’entreprises ayant réussi à atteindre un score Flesch de 70

Plusieurs multinationales ont investi le sujet pour optimiser leur communication interne comme externe. L’Oréal, leader dans les cosmétiques, a mis en place une méthodologie interne de simplification linguistique qui a permis de réduire les réclamations liées à une mauvaise compréhension des notices produits.

De même, Danone a revu la formulation de ses brochures nutritionnelles pour satisfaire à la fois les experts et les consommateurs non spécialistes, améliorant ainsi leur taux d’engagement sur leurs plateformes numériques.

Voici quelques exemples d’actions mises en place :

• Révision systématique des textes avec des tests de lisibilité.
• Organisation d’ateliers de formation pour les rédacteurs.
• Adaptation des contenus en fonction des retours utilisateurs mesurés par enquêtes.
• Création de guides de style internes axés sur la clarté et l’accessibilité.
• Recours régulier aux outils numériques d’analyse et à la relecture croisée.

La réussite de cette démarche se traduit par une meilleure image de marque et une simplification efficace des parcours clients, avantages manifestes également constatés dans les services digitaux d’Orange ou les supports de formation de Renault.

FAQ sur le score Flesch et la lisibilité des textes

• Qu’est-ce qu’un test de lisibilité ?
  Un test de lisibilité évalue la facilité de lecture d’un texte, souvent représentée par un score reflétant le niveau scolaire recommandé pour le comprendre. Les tests utilisent des données comme le nombre de mots, de syllabes et de phrases.
• Comment interpréter le score de lisibilité Flesch ?
  La formule Flesch produit un score entre 0 et 100. Un score autour de 70 indique que le texte est plutôt facile à lire, adapté à un public avec un niveau d’étude de collège. Plus le score est élevé, plus le texte est simple.
• Quelle différence entre le score Flesch et le Flesch-Kincaid ?
  Le score Flesch mesure la facilité de lecture générale alors que le Flesch-Kincaid attribue un niveau scolaire anglosaxon en années, par exemple 8ème année pour un score cible autour de 70. Les deux utilisent des formules proches mais avec des coefficients différents.
• Quels outils utiliser pour mesurer le score Flesch en ligne ?
  Le site dCode est une référence gratuite très pratique qui calcule le score Flesch ainsi que d’autres indices. De nombreux logiciels de traitement de texte comme Microsoft Word intègrent aussi des tests de lisibilité.
• Est-il toujours préférable d’avoir un score Flesch élevé ?
  Un score élevé est généralement souhaitable pour de larges audiences, mais certains contenus spécialisés nécessitent un vocabulaire complexe et des phrases longues qui justifient un score plus bas.